La protection de l’environnement est au cœur de tous les débats aujourd’hui. En matière d’automobiles, de nombreux industriels ont essayé et réussi à développer des solutions innovantes en matière de voitures écologiques.
Ces véhicules fonctionnent aux biocarburants, à l’énergie électrique, au gaz de pétrole liquéfié (GPL) ou au gaz naturel véhicules (GNV). A cela s’ajoutent les véhicules électriques et thermiques, dits hybrides. En matière d’assurance auto, de plus en plus d’assureurs reconnaissent les bienfaits de ces voitures sur l’environnement et s’engagent à offrir des tarifs préférentiels à leurs clients. Les critères de distinction sont d’une part l’impact sur l’effet de serre : l’émission de gaz carbonique (CO2), et d’autre part l’impact sur la pollution atmosphérique, nuisible à la santé : l’émission de particules, de monoxyde de carbone (CO), d’oxydes d’azote (NOx) et d’hydrocarbures imbrûlés (HC).
Le bonus écologique a pour but d’inciter les acheteurs de véhicules à choisir des modèles plus économes et moins polluants. Cette mesure existe depuis le 1er janvier 2008. Elle prend la forme d’une réduction sur le coût d’achat. L’acheteur perçoit un bonus d’autant plus élevé que la voiture est moins émettrice de CO2. En pratique, le bonus est le plus souvent déduit du prix par le vendeur. Si le vendeur ne fait pas l’avance du bonus, il vous faudra retirer une demande de versement auprès de la préfecture ou la télécharger sur le site www.cnasea.fr.
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